C’est le film événement de cette fin d’année, un ovni dans nos
salles de cinéma moderne, une perle au niveau de la réalisation
graphique. Ce nouveau film de James Cameron frôle la perfection
visuelle. Le réalisateur nous avait prévenu, incapable de concrétiser
son nouveau bébé avant l’évolution de la 3D, le réalisateur a attendu
12 ans avant de mettre en chantier AVATAR. (avatarmovie.com/)
De la première à la dernière minute, le film nous en met plein la vue.
Images exceptionnelles, séquences graphiques incroyables, les décors
sont magiques. Plus qu’un film d’animation, les couleurs sont sublimes
l'image est propres et les détails sont impeccables. Jamais un film de
semi-animation n’avait été aussi loin. Avec un budget, actuellement le
plus gros de l’histoire du cinéma (387 M$), un réalisateur mythique et
une révolution visuelle, le résultat est stupéfiant. (2h40 min de plaisir)
Le bémol, faut bien en parler : Au niveau de l’écriture, AVATAR devient
vite prévisible. En terme de scénario, l’originalité n’est pas vraiment au
rendez-vous. Un jeune militaire (Jake Sully) découvre un peuple incon-
nu. Au fur et à mesure de son intégration, celui-ci va s’attacher et tom-
ber sous le charme de la fille du général. Alors, lorsque l’armée améri-
caine décide d’attaquer ce peuple pour récupérer un bien précieux, le
militaire va devoir faire un choix. La raison ou l’argent. j'aurait aimé
que James Cameron me surprenne après douze ans de reflexion.
Dans nos salles française depuis mercredi et pour un moment,
il reste un film à ne pas manquer, un plaisir pour les yeux ...